Le score de convergence PP concerne la sensibilisation centrale localisée dans le pelvis pour ses symptômes.

Cependant, la sensibilisation centrale peut aussi concerner d’autres zones de votre corps

Pour rappel, la sensibilisation d’origine centrale est définie comme une amplification de l’activité neuronale au sein du système nerveux central provoquant une hypersensibilité à la douleur : des douleurs non spécifiques et non cancéreuses.

Il y a 2 parties au questionnaire :

Plus le score est élevé, plus la symptomatologie est importante. Ce score va s’améliorer en réponse au traitement multimodal des patients avec des douleurs chroniques et permet de suivre l’effet sur la qualité de vie du patient.

Pour chaque proposition, vous choisissez la réponse la plus adéquate à votre état. Il faut compter 3 minutes pour le remplir

Je me sens fatigué.e et pas reposé.e quand je me réveille le matin (càd après avoir dormi votre nuit) / mon sommeil n’est pas réparateur jamaisrarement parfoissouventtoujours
Je ressens des raideurs et des douleurs musculaires jamaisrarementparfoissouventtoujours
j’ai des attaques d’anxiété, je souffre d’anxiété soudaine / je fais des crises d’angoisse jamaisrarementparfoissouventtoujours
je grince ou serre les dentsjamaisrarementparfoissouventtoujours
J’ai des soucis de diarrhée et /ou de constipation jamaisrarementparfoissouventtoujours
j’ai besoin d’aide pour effectuer mes activités quotidiennesjamaisrarementparfoissouventtoujours
je ne supporte pas (je suis sensible) la lumière trop vive ou trop forte jamaisrarementparfoissouventtoujours
je suis vite fatigué.e quand je fais une activité physiquejamaisrarementparfoissouventtoujours
je souffre de douleurs partout dans mon corpsjamaisrarementparfoissouventtoujours
j’ai des migraines ou des céphalées (maux de tête)jamaisrarementparfoissouventtoujours
je ressens de l’inconfort / une gêne dans la vessie et / ou des brûlures lorsque j’urinejamaisrarementparfoissouventtoujours
je ne dors pas bienjamaisrarementparfoissouventtoujours
j’éprouve des difficultés à me concentrer / j’ai des difficultés de concentration jamaisrarementparfoissouventtoujours
j’ai des problèmes cutanés : sécheresse, démangeaisons, ou des rash (rougeurs qui apparaissent d’un coup) / éruptions cutanéesjamaisrarementparfoissouventtoujours
Le stress va augmenter tous mes symptômes physiquesjamaisrarementparfoissouventtoujours
je me sens triste ou déprimé.ejamaisrarementparfoissouventtoujours
j’ai une énergie basse / je manque d’énergie / j’ai peu d’énergiejamaisrarementparfoissouventtoujours
j’ai des tensions musculaires dans la nuque et les épaulesjamaisrarementparfoissouventtoujours
j’ai mal à la mâchoire jamaisrarementparfoissouventtoujours
certaines odeurs, comme des parfums, me donnent des nausées et des étourdissements jamaisrarementparfoissouventtoujours
je dois uriner fréquemment (pollakiurie)jamaisrarementparfoissouventtoujours
mes jambes sont inconfortables et sans repos quand j’essaie de m’endormirjamaisrarementparfoissouventtoujours
j’ai du mal à me souvenir de certaines chosesjamaisrarementparfoissouventtoujours
j’ai souffert de traumatismes quand j’étais jeunejamaisrarementparfoissouventtoujours
j’ai des douleurs dans mon bassin (région pelvienne)jamaisrarementparfoissouventtoujours
total

les seuils

on préfère distinguer 3 groupes : faible, moyen et élevé.

ce score sert à prévoir le risque de douleur chronique et aussi des résultats d’interventions chirurgicales destinées à la soulager (comme en orthopédie).

NB il s’agit d’une traduction libre de ma part du CSI

L’activité sexuelle féminine est moins stéréotypée que celle des hommes; en effet, chez eux, les réponses physiologiques sont non seulement facilement observables (érection pex) et mesurables (éjaculation pex), il est donc nécessaire d’avoir d’autre type de références pour les femmes.

Le Female Sexual Function Index est un outil intéressant : il comporte 19 questions sur les domaines suivants :

désir : 2 questions

excitation : 4 questions

lubrification : 4 questions

orgasme : 3 questions

satisfaction : 3 questions

douleur : 3 questions

Instructions :

les questions portent sur les 4 dernières semaines

l’activité sexuelle peut comprendre les caresses, les préliminaires, la masturbation et la pénétration vaginale

le rapport sexuel se définit comme la pénétration (introduction) du pénis (ou autres ?)

la stimulation sexuelle comprend, pex, les préliminaires avec un partenaire, la masturbation et les fantasmes sexuels

le désir sexuel est un sentiment qui comprend le désir d’avoir une activité sexuelle, le fait d’être réceptive aux avances sexuelles d’un.e partenaire et d’avoir des pensées ou des fantasmes à propos de l’acte sexuel.

Il n’est pas le seul outil de dépistage néanmoins.

Le désir sexuel (score 1 à 5 / score minimum 1,2 / score maximal 6)

coefficient 0,65 4 3 2 1
au cours des 4 dernières semaines, avez-vous ressenti un désir sexuel ?presque toujours ou toujours la plupart du temps (plus d’une fois sur 2)parfois (environ une fois sur 2)rarement (moins d’une fois sur 2)presque jamais ou jamais
au cours des 4 dernières semaines, quel a été votre niveau (degré) de désir sexueltrès élevéélevémoyenfaibletrès faible ou inexistant

L’excitation sexuelle est une sensation qui comprend à la fois des aspects physiques et psychologiques. Elle peut comprendre des sensations de chaleur ou de picotements au niveau des organes génitaux, la lubrification (humidité) du vagin ou des contractions musculaires.

score 0 à 5 / score minimal 0 / score maximal 6

Coefficient 0,3054321
au cours des 4 dernières semaines, vous êtes-vous sentie excitée sexuellement pendant une activité sexuelle ou un rapport sexuel ?aucune activité sexuellepresque toujours ou toujoursla plupart du temps (plus d’une fois sur 2)parfois (environ une fois sur 2)rarement (moins d’une fois sur 2)presque jamais ou jamais
au cours des 4 dernières semaines, quel a été votre degré(niveau) d’excitation sexuelle pendant une activité sexuelle ou un rapport sexuel ?aucune activité sexuelle très élevé Élevémoyenfaibletrès faible ou inexistant
au cours des 4 dernières semaines, à quel point vous êtes-vous sentie sûre de votre capacité à être sexuellement excitée pendant une activité sexuelles ou un rapport sexuel ?aucune activité sexuelle extrêmement sûretrès sûremoyennement sûrepeu sûretrès peu sûre ou pas du tout sûre
au cours des 4 dernières semaines, avez-vous été satisfaite de votre degré d’excitation pendant une activité sexuelle ou un rapport sexuel ?aucune activité sexuelle presque toujours ou toujoursla plupart du temps (plus d’une fois sur 2)parfois (environ une fois sur 2)rarement (moins d’une fois sur 2)presque jamais ou jamais

concernant la lubrification : score 0 à 5 / score minimal 0 / score maximal 6

coefficient 0,3
au cours des 4 dernières semaines, votre vagin était-il lubrifié (humidifié) pendant une activité sexuelle ou un rapport sexuel ?5
presque toujours
ou
toujours
4
la plupart du temps
(plus d’une fois sur 2)
3
parfois
(environ une fois sur 2)
2
rarement
(moins d’une fois sur 2)
1
presque jamais
ou
jamais
0
aucune activité sexuelle
au cours des 4 dernières semaines, à quel point vous a-t-il été difficile d’avoir le vagin lubrifié (humidifié) pendant une activité sexuelle ou un rapport sexuel ?0
aucune activité sexuelle
1
extrêmement difficile
ou
impossible
2
très difficile
3
difficile
4
légèrement difficile
5
pas difficile
au cours des 4 dernières semaines, la lubrification (humidité) de votre vagin a-t-elle duré jusqu’à la fin d’une activité sexuelle ou d’un rapport sexuel ?5
presque toujours
ou
toujours
4
la plupart du temps
(plus d’une fois sur 2)
3
parfois
(environ une fois sur 2)
2
rarement
(moins d’une fois sur 2)
1
presque jamais
ou
jamais
0
aucune activité sexuelle
au cours des 4 dernières semaines, à quel point vous a-t-il été difficile de conserver la lubrification (humidité) de votre vagin jusqu’à la fin d’une activité sexuelle ou d’un rapport sexuel ?0
aucune activité sexuelle
1
extrêmement difficile
ou
impossible
2
très difficile
3
difficile
4
légèrement difficile
5
pas difficile

concernant vos orgasmes : score 0 à 5 / score minimal 0 / score maximal 6

Coefficient 0,4
au cours des 4 dernières semaines, lorsque vous avez été stimulée sexuellement ou que vous avez eu un rapport sexuel, avez-vous atteint l’orgasme ?5
presque toujours
ou
toujours
4
la plupart du temps
(plus d’une fois sur 2)
3
parfois
(environ une fois sur 2)
2
rarement
(moins d’une fois sur 2)
1
presque jamais
ou jamais
0
aucune activité sexuelle
au cours des 4 dernières semaines, lorsque vous avez été stimulée sexuellement ou que vous avez eu un rapport sexuel, à quel point vous a-t-il été difficile d’atteindre l’orgasme ?0
aucune activité sexuelle
1
extrêmement difficile
2
très difficile
3
difficile
4
légèrement difficile
5
pas difficile
au cours des 4 dernières semaines, à quel point avez-vous été satisfaite de votre capacité à atteindre l’orgasme pendant une activité sexuelle ou un rapport sexuel ?5
très satisfaite
4
moyennement satisfaite
3
ni satisfaite,
ni insatisfaite
2
moyennement
insatisfaite
1
très
insatisfaite
0
aucune activité sexuelle

concernant votre satisfaction : score 0 (ou 1) -5 / score minimal 0,8 / score maximal 6

Coefficient 0,4
au cours des 4 dernières semaines, à quel point avez-vous été satisfaite de votre relation affective avec votre partenaire pendant une activité sexuelle ?5
très satisfaite
4
moyennement satisfaite
3
ni satisfaite
ni insatisfaite
2
moyennement
satisfaite
1
très
insatisfaite
0
Aucune
activité sexuelle
au cours des 4 dernières semaines, à quel point avez-vous été satisfaite de votre relation avec votre partenaire du point de vue sexuel ?5
très satisfaite
4
moyennement satisfaite
3
ni satisfaite
ni insatisfaite
2
moyennement
satisfaite
1
très
insatisfaite
au cours des 4 dernières semaines, à quel point avez-vous été satisfaite de votre vie sexuelle en général ?5
très satisfaite
4
moyennement satisfaite
3
ni satisfaite
ni insatisfaite
2
moyennement
satisfaite
1
très
insatisfaite

Enfin, concernant votre douleur :score 0 à 5 / score minimal 0 / score maximal 6

Coefficient 0,4
au cours des 4 dernières semaines, avez-vous ressenti une gêne ou de la douleur pendant la pénétration vaginale ?0
je n’ai pas de rapport sexuel
1
presque toujours
ou
toujours
2
la plupart du temps
(plus d’une fois sur 2)
3
parfois
(environ une fois sur 2)
4
rarement
(moins d’une fois sur 2)
5
presque jamais
ou
jamais
au cours des 4 dernières semaines, avez-vous ressenti une gêne ou de la douleur après la pénétration vaginale ?0
je n’ai pas de rapport sexuel
1
presque toujours
ou
toujours
2
la plupart du temps
(plus d’une fois sur 2)
3
parfois
(environ une fois sur 2)
4
rarement
(moins d’une fois sur 2)
5
presque jamais
ou
jamais
au cours des 4 dernières semaines, quel a été votre niveau (degré) de gêne ou de douleur pendant ou après la pénétration vaginale ? 0
je n’ai pas de rapport sexuel
1
très élevé
2
élevé
3
moyen
4
faible
5
très faible
ou
inexistant

Les scores vont de minimum 2 => maximum 36, plus le score est élevé, plus le risque de dysfonction sexuelle est probable ( le seuil de 26,55 est reconnu comme seuil de « dysfonction »).

Ce questionnaire, un peu long (30 items) permet de voir l’impact de l’endométriose sur votre vie mais peut être généralisé, à mon avis, à toute douleur chronique (minimum 3 à 6 mois).

Il s’agit d’une traduction libre de ma part en français, l’original est en anglais.

Questionnaire traduit et Basé sur EHP30 de l’université d’Oxford (Oxford University Innovation)

si vous ne souhaitez pas y répondre, lisez-le et voyez tous les champs de votre vie que la douleur peut affecter ….

il ne s’agit pas de le remplir pour estimer si oui ou non vous avez de l’endométriose mais plutôt pour objectiver votre qualité de vie (et son amélioration éventuelle suite à la prise en charge) et vous permettre d’en voir l’évolution, il s’agit d’une maladie chronique et comme toute maladie chronique, dont on ne peut garantir la guérison, on vise l’amélioration de votre vie .

Il étudie plusieurs champs de votre vie quotidienne

1.Été incapable d’aller à des évènements sociaux (soirées, restaurants, sorties avec vos ami.e.s ou collègues …) à cause de la douleur ?jamaisrarementparfoissouventtoujours
2.Été incapable de travailler de la maison à cause de la douleur ?
3.Trouvé difficile de tenir debout à cause de la douleur ?
4.Trouvé difficile de rester assise à cause de la douleur ?
5.Trouvé difficile de marcher à cause de la douleur ?
6.Trouvé difficile de faire de l’exercice ou des activités de loisirs que vous souhaitiez faire à cause de la douleur ?
7.Perdu l’appétit et/ou été incapable de manger à cause de la douleur ?
8.Été incapable de dormir (passer une bonne nuit) à cause de la douleur ?
9.D’aller au lit / vous coucher à cause de la douleur ?
10.Été incapable de faire les choses que vous vouliez faire à cause de la douleur ?
11.Sentie incapable de faire face à la douleur ?
12.Sentie de manière générale pas bien
13.Sentie frustrée parce que vos symptômes ne s’améliorent pas ?
14.Sentie frustrée parce que vous n’êtes pas capable de contrôler vos symptômes ?
veuillez noter que j’ai féminisé le questionnaire à dessein, mais les questions ne sont pas genrées.
15. Sentie incapable d’oublier vos symptômes ?jamaisRarement ParfoissouventToujours
16. Senti comme si vos symptômes dominent votre vie ?
17. Senti que vos symptômes volent votre vie ?
18. Sentie déprimée ?
19. Sentie larmoyante / éplorée ? Eu envie de pleurer 
20. Sentie misérable ?
21. Eu des sautes d’humeur ?
22. Senti de mauvaise humeur ou en colère ?
même remarque, j’ai féminisé les questions mais elles sont valables pour tout le monde
23. Sentie prise d’accès de violence ou agressive ?JamaisRarementParfoisSouventToujours
24. Sentie incapable d’expliquer aux autres comment vous vous sentez ?
25. Senti que les autres ne comprennent pas par quoi vous passez ou quelle est votre situation ?
26. Senti que les autres vous voient comme plaintive?
27. Sentie (si) seule ?
28. Sentie frustrée de ne pas pouvoir porter tous les vêtements que vous souhaitez ?
29. Senti que votre apparence physique est affectée ?
30. Manqué de confiance en vous  ?

d’autres questionnaires existent qui concernent

voici le lien vers ce questionnaire plus étendu en français

https://endo-bfc.fr/wp-content/uploads/2023/11/EHP-30-1.pdf

cela vous laisse imaginer qu’il s’agit d’une maladie qui chez certaines patientes, peut vraiment impacter toute leur vie et la leur rendre médiocre et difficile au quotidien.

Si la consultation concerne une douleur pelvienne, ne réfléchissez pas trop c’est oui ou non 😉

Merci de remplir ce questionnaire avant et me l’apporter rempli

Ce questionnaire est inspiré du score de Convergence PP

questionsréponse oui ou non
Douleurs influencées lors du remplissage vésical et/ou la miction oui / non
Douleurs influencées lors de la dissension et/ou la vidange rectale (matière, gaz) oui / non
Douleurs influencées lors de l’activité sexuelleoui / non
Allodynies pelvi-péritonéales : impossibilité d’utiliser des tampons, intolérance aux ports de sous-vêtements serrés, le simple toucher de la vulve est douloureux oui / non
Présence de points gâchette pelviens : piriforme, obturateurs internes, élévateurs de l’anusoui / non
Douleurs post-mictionnelles : après avoir urinéoui / non
Douleurs post-défécatoires : après avoir fait cacaoui / non
Douleurs qui restent après l’activité sexuelleoui / non
La douleur est variable : évolution par périodes, évolution en dents de scie et/ou de localisation variableoui / non
Migraines et/ou céphalées (maux de tête) de tension et/ou fibromyalgie et/ou syndrome de fatigue chronique et/ou syndrome de stress post-traumatique et/ou syndrome de jambes sans repos et/ou SADAM et/ou intolérances multiples aux produits chimiques oui / non
SADAM syndrome algo-dysfonctionnel de l’appareil mandicateur (mâcher les aliments ) = Douleurs localisées ou à distance ainsi que des problèmes mécaniques de la mâchoire ( articulation temporo-mandibulaire)

Une grossesse peut être et doit rester une folie, une douce et puissante folie; un enfant peut aussi
être une surprise et apparaître dans la vie de ses parents sans prévenir…


Néanmoins, dans certains cas, il s’agit d’un projet réfléchi ou « programmé » que ce soit parce que sans l’aide d’un service de PMA (procréation médicalement assistée), l’enfant ne vient pas, que ce soit parce que, en raison d’une maladie maternelle ou paternelle, un traitement doit être stoppé pour la sécurité de l’enfant à venir, que ce soit parce que c’est le « moment », que ce soit parce que après un mariage et un voyage de noce, on va arrêter toute contraception….bref, parfois on a envie de tout faire au mieux (n’oubliez pas que on ne peut donner que le meilleur de soi-même au moment même, pas question de se « mettre la pression »).


Quelques points peuvent être à envisager aussi bien chez la (future) maman et le (futur) papa (ou simplement chez les futurs parents).


L’arrêt du tabac est une évidence ainsi que de toutes drogues (dures et « moins dures » y compris le haschich), ce n’est pas toujours facile et des tabacologues existent, toute diminution notable de la consommation est un atout. Le but serait de ne pas recommencer après la naissance et l’éventuel allaitement.

L’alcool est à prohiber aussi, un peu comme une « tournée minérale » qui dure plus qu’un mois.
https://youtu.be/EGhi8RQpOcM


Limiter le sucre et revenir à une alimentation plus proche de la « nature » : consommer bio, éviter les plats tout préparés qui contiennent énormément de sucres et de E…. (+ toutes les séries de chiffres) : en effet, ce que l’on mange pendant la grossesse va être « reconnu » par le bébé et apprécié par lui.. autant commencer les bonnes habitudes le plus tôt possible (et limiter le goût du sucre), et tous les E quelque choses ne sont pas naturels (principe de précaution).

Certains vont proposer un programme de « détoxification » à base de chélateurs de métaux lourds type algues : chlorella (algue verte) 10j par mois suivi de 20j de lithothamme (algue rouge) ou encore simplement l’algue bleue Afa Klamath, ceci est un exemple.


On peut aussi renforcer son microbiote (les bactéries qui nous aident dans nos intestins), en effet « ces bactéries qui sont nos amies » et notre mode de vie actuel (horaire, stress, travail, pesticide, …) n’est pas optimal pour « nos amies »; or le bébé lors de la naissance sera colonisé par les bactéries maternelles et son microbiote sera fortement influencé par celui de sa maman; d’autre part, un bon microbiote maternel limite aussi le risque de naissance prématurée : l’inuline (comme celle contenue dans le topinambour), le curcuma longa, .. peuvent aider ainsi que des ferments lactiques.

A noter que le Papa bénéficiera, lui aussi, d’un meilleur microbiote. Dans cette même idée, certaines visites médicales sont à anticiper (visites pré-conceptionnelles ou avant la grossesse) ou le plus rapidement possible après l’annonce de la grossesse :

Enfin, une grossesse peut se compliquer et nécessiter un arrêt de travail de la maman pour protéger son bébé, avec une perte éventuelle de revenus : vérifier votre mutuelle, vérifier vos assurances (revenu garanti pour les indépendantes), et si vous souhaitez une chambre seule (et éventuellement pouvoir rester à la maternité avec le papa), de bien contrôler votre contrat d’assurance hospitalisation (la plupart ont un stage d’attente qui peut dépasser la durée d’une grossesse)… Il est à noter que l’on accouche encore en chambre commune en Belgique 😉

Ce ne sont que quelques conseils généraux bienveillants qui seront, bien-sûr, à individualiser car il ne s’agit pas d’une maman, d’un couple, d’un papa mais de VOUS.

Malheureusement, je me sens obligée de compléter cet article : l’environnement

Si vous le souhaitez, vous pouvez répondre aux questions, vous y trouverez déjà des informations personnalisées (et merci à la SSMG de le partager avec moi 🙂 )

https://snq3x7rznwq.typeform.com/to/LIYvUasY?typeform-source=com.Google.androïde.gm#source=xxxxx

De plus en plus, et c’est un nouveau domaine de la médecine qui l’étudie : la médecine environnementale; en effet, des liens entre l’environnement et la santé humaine sont de plus en plus prouvés.

On conseille de limiter au maximum les polluants tels que les phtalates, bisphénols (comme le bisphénol A mais malheureusement il n’est pas le seul), les PFAS, les radiations électromagnétiques, les perturbateurs endocriniens… non seulement il faut manger bio, mais limiter au maximum votre exposition, soit celle de la maman et du papa et donc celle de votre futur enfant (voire même des futurs enfants de votre enfant - transmission transgénérationnelle) à ces toxiques non visibles :

Je vous en livre ici quelqu’uns (piochés sur leur site @docteurcoquelicot) avec mes commentaires

mais je vous invite à consulter le site de https://docteurcoquelicot.com, qui est géré par la SSMG (société scientifique de médecine générale) de toute urgence, (même sans projet parental d’ailleurs) :

Vous trouverez aussi des conseils dans la capsule sur la préservation de la fertilité

Voici des conseils pour les femmes enceintes et pour les futur.e.s parents (maman et papa)

ou pour les femmes qui nourrissent leur bébé au sein : 

 1. C’est mieux de manger des fruits et légumes :

• de saison.

Par exemple, on ne mange pas de fraises en hiver en Belgique : d’où croyez-vous qu’elles viennent et comment sont-elles conservées le temps du voyage vers nos super-marchés ?

• locaux.

Ça veut dire des fruits et légumes de Belgique, c’est-à-dire qui ne sont pas transportés de l’autre coin de la planète, d’Asie par exemple, dans du plastique (de nombreux scandales de sécurité alimentaire depuis quelques années viennent d’Asie)

  •et biologiques.  

Nb on ne peut pas toujours manger bio mais alors, laissez tremper vos fruits et légumes dans du bicarbonate de soude : actuellement certains préconisent de laisser tremper aussi les légumes et fruits BIO et éplucher ce qui peut l’être.

Ça veut dire aussi qu’on n’utilise pas de produits chimiques pour faire pousser les fruits et légumes si on a un potager personnel dans son jardin.

2. Quand on chauffe de la nourriture,

c’est mieux de chauffer dans du verre ou dans de la céramique. 

Dans le plastique, il y a des produits qui sont mauvais pour la santé. Ces produits peuvent aller dans la nourriture ou dans les boissons par simple contact au niveau de la paroi. Vous en avez sûrement déjà entendu parler PFAS, bisphénol A …et tous ceux qui n’ont pas encore été étudiés….pff 

Surtout quand on chauffe le plastique.

C’est pour ça aussi qu’il Il ne faut pas boire de boissons chaudes dans des verres en plastique, méfiez-vous aussi des « contenants » en papier (plus écologiques paraît-il … pff pour que votre tasse en papier tienne le liquide, il faut du plastique souvent du côté interne d’ailleurs ..vous avez déjà vu du papier imbibé d’eau ? Cela ramollit ).

je ne dirais pas « plastiques SANS danger » mais avec moins de danger.

méfiez-vous parfois le contenant appartient à ces plastiques mais pas le couvercle !

 

3. C’est mieux d’utiliser des poêles en acier inoxydable.

C’est un type de poêle.

Il faut regarder sur l’étiquette pour savoir.

Éviter le Téflon et le matériel de cuisine en plastique !

4. Il ne faut pas boire de boissons dans les canettes. Il y a des produits dangereux pour la santé dans les canettes (la paroi de la cannette), sans compter que ces produits ne sont pas sains, et leurs compositions parfois non accessibles (la formule du Coca@ est un secret).

Si vous avez une gourde, choisissez-la en inox ( l’intérieur est gris et ressemble à de l’aluminium)

5. C’est mieux de ne pas trop utiliser de produits de beauté.

Surtout ceux avec des phtalates, triclosan ( que l’on retrouve notamment dans des dentifrices et des solutions de rinçage buccal pour la « bonne haleine ») et des parabènes. Ce sont  des produits dangereux pour la santé.

Il faut regarder les étiquettes sur les produits (et apprendre à les lire) ET utiliser l’application INCI beauty 

6. Il faut laver les nouveaux vêtements avant de les mettre. 

Dans les vêtements, il y a parfois des produits qui sont mauvais pour la santé (comme des PFAS utilisés pour le transport et limiter le risque d’incendie lors de ces transports)

Ce conseil est valable aussi pour les vêtements pour le bébé et je dirais même SURTOUT pour lui, votre bébé est plus fragile que vous à ces substances.

7. Il faut laver les nouveaux jouets quand c’est possible.

Parce qu’il y a souvent des produits dangereux pour la santé. 

C’est mieux de prendre des jouets d’occasion (si en plastique, vérifiez le degré d’usure - les griffes, s’ils sont fort abimés et si ils sont en bois, vérifier qu’ils n’ont pas été « ré-vernis » récemment)

Si les jouets sont nouveaux, il faut enlever l’emballage et laisser le jouet à l’air quelques jours avant de l’utiliser.

8. C’est mieux de manger des petits poissons.

Dans les gros poissons, il y a des produits dangereux pour la santé. Il faut manger des gros poissons 1 fois par semaine ou moins. Certains parlent de 2 X par semaine dont une fois du poisson « gras », mais ici, c’est l’effet toxique sur le fœtus des métaux et polluants retrouvés dans les poissons qui sont en cause.

Rappelez-vous le fœtus n’est pas un adulte en miniature : il est beaucoup plus fragile que vous

Par exemple, le thon : non seulement il contient des métaux lourds, mais sa chair est au coeur d’un scandale européen de sécurité sanitaire : on y injecte des nitrites pour la rendre plus rouge et plus appétissante du coup (cette méthode est aussi au coeur d’un scandale pour le « recyclage » de la viande et des charcuteries, comme le jambon reconstitué)

9. Il ne faut pas trop cuire (ou brûler) les céréales ou les pommes de terre.

Parce que quand on cuit trop, il y a alors une substance qui est produite dans la nourriture.

Par exemple quand on a grillé sa tartine trop longtemps et qu’elle est un peu noire, idem pour les BBQ !

Ce produit peut créer des cancers.

Cependant, les céréales et les graines doivent aussi être bien cuites et il faut respecter les conseils d’utilisation (souvent il y a un temps de trempage long à respecter pour en faciliter la digestion). Il faut mieux manger des protéines végétales que trop de protéines animales (voir la capsule un mode de vie sain)

10. Il faut prendre assez de vitamines par jour.

Certains médecins fonctionnels et nutritionnistes estiment que les légumes et les fruits actuels sont moins « nourrissants » qu’avant. Je n’ai pas d’avis sur la question mais avant une grossesse, il est intéressant de combler ses déficiences.

Surtout de l’iode qui manque en Belgique et l’acide folique en pré-conceptionnel.

Attention à certaines vitamines qui, en excès, ne sont pas bonnes pour une femme enceinte (comme la vitamine A).

C’est important pour que le cerveau du bébé se développe bien.

On peut demander conseil à son médecin pour choisir les vitamines.

11. C’est mieux de prendre des meubles d’occasion.

Dans les nouveaux meubles, il y a souvent des COV (composés organiques volatiles).

Les COV sont des produits mauvais pour la santé.

Il y a aussi souvent des COV dans la peinture.

Il faut aussi éviter de faire des travaux ou de la peinture (et sinon, préférer les peintures bio ou à l’eau).  

Et il faut bien ouvrir les fenêtres pour aérer la pièce.

12. C’est mieux de ne pas utiliser du parfum à l’intérieur : encens ou parfums d’ambiance.

Il y a souvent du parfum dans les bougies ou dans les toilettes. C’est mauvais pour la santé.

Et bien faire circuler l’air 15 min le matin et 15 min le soir hors périodes d’heures de pointe si vous habitez en ville ou hors période d’épandage si vous habitez à la campagne.

Si vous souhaitez avoir un enfant, un questionnaire existe sur leur site, qui vous donnera des conseils personnalisés : Lien vers le questionnaire

Vous pouvez aussi télécharger la brochure suivante sur les 1000 premiers jours 

https://www.ssmg.be/wp-content/uploads/Cellules-spec/Environnement/231123-Webinaire-pFAS/Br-FR-Se-proteger-perturbateurs-endocriniens.pdf

Vous faites de votre mieux jour après jour, c’est un super projet de vouloir porter et donner la vie, ne l’oubliez pas 😉


il s’agit de quelques remèdes cités par ci par là que j’ai regardés un peu plus avant.
je pense que cela peut être une alternative dans notre arsenal thérapeutique
cela n’a rien de scientifique même si j’ai essayé d’appliquer mon esprit critique
si remarques ou si vous avez testé d'autres remèdes, n’hésitez pas à me contacter et me les donner que je puisse compléter cette capsule au profit d'autres patientes.


j’espère que cela va nous aider, veuillez aussi noter que ces recherches initialement ont été pour mes collègues gynécologues.

Le Gattilier


(plante : arbre au poivre ) : certains citent la prise orale de poivre dans 1 cuillère à soupe d’aloé vera 2x/J
a une action qui augmente la progestérone et diminue la prolactine
il régule le syndrome prémenstruel et lutte contre les règles irrégulières, et aide dans les
troubles prémenstruels
dose retrouvée dans la littérature 20mg / j (extrait sec)

La Bromelaine

arthrose et rhumatisme : améliore la polyarthrite rhumatoïde chronique
une étude a montré que son association avec de la trypsine = même efficacité que
diclofénac dans l’arthrose


les produits laitiers diminuent son efficacité
posologie : 125 à 500 mg/j 3/J en voie orale (DYNVEO @)
diminue les Douleurs, inflammation et oedèmes
Douleurs rhumatismales et troubles digestifs
à prendre ENTRE les repas
sauf si donnés pour améliorer la digestion : alors 200 à 2000mg/j en 4X pendant les repas
Les effets secondaires apparaissent pour des doses importantes


troubles digestifs +++
et
ménorragies (effet anti aggrégant plaquettaire)
contrindication
femmes enceintes et allaitantes
< 6 ans
allergie à l’ananas, au pollen d’Olivier et au venin d’abeille (allergie croisée)
attention à la prise d’anticoagulants et Antiobiotiques
peut être donné en voie externe sous forme d’onguent et de crème pour accélérer la
guérison des plaies (brûlures de 2 et 3ème degré)

Le Shatavri



(appartient à la famille des asperges : asperge sauvage qui pousse en Inde)
remède ayurvédique
shat = 100
avar = en -dessous
vri = racine (ou pfs traduit par mari)
la plante aux 100 racines en dessous du sol / celle qui a100 maris (un programme)
elle contient notamment des flavonoïdes, des glycosides stéroïdiens et des saponides
stéroroïdiennes.


Elle contient des glycosides stéroïdiens (qui ont effet stimulant sur l’hypothalamus ,ce qui
permet de satisfaire l’appétit rapidement).
Des saponines stéroïdiennes elles sont réputées pour leurs bienfaits sur l’activité
sexuelle. Elles interviennent également dans la gestion du taux de cholestérol et la gestion
de la glycémie dans le cas du diabète. En effet les saponines stéroïdiennes stimulent
différents organes tels que le pancréas, l’estomac, les intestins, le foie, et même la
vésicule biliaire.
Elles permettent aussi de stimuler le système immunitaire en combattant les inflammations
et les infections.

De la sarsapogénine qui agit sur les hormones de l’homme et de la femme notamment en
stimulant la production de progestérone et en traitant les syndromes prémenstruels ainsi
que les troubles liés à la ménopause. Ce principe actif permet aussi d’améliorer et
d’augmenter la production et la qualité du lait maternel. A cet effet, le lait subit une sorte
de processus de nettoyage.
Des composés flavonoïdes tels que la rutine, la quercétine et le kaempférol, qui sont entre
autre anti-oxydant, soutiennent l’immunité et sont anti-inflammatoires.
Du B-sitostérol un composé végétal naturel qui possède des propriétés anti-inflammatoire,
antipyrétique, antinéoplasique et immunomodulatrice.
Les applications médicinales du Shatavari
Il faut savoir que le shatavari peut être utilisé à tout âge, aussi bien pour la femme que
pour l’homme.


♦ Soutien et équilibre l’activité hormonale
Le Shatavari est une aide précieuse pour la femme à bien des égards et tout au long de
sa vie de femme : cycle féminin, accouchement, ménopause…
Il maintient le système reproducteur féminin en bonne santé, car c’est un tonifiant de
l’utérus (bon pour fertilité et la libido). Il revigore l’utérus et augmente le volume ainsi que
la qualité du sang menstruel.
Il est très utile en cas de dysménorrhées, de ménorragies, de métrorragies et permet de
prévenir les syndromes prémenstruels et d’apaiser Vata qui est souvent responsable de
symptômes pré-menstruels tels que les crampes, les douleurs abdominales, la fatigue…
Il augmente la production d’œstrogène et protège la femme lorsqu’elle allaite.
Il favorise la production du sperme chez les hommes et leur vigueur.
Il est très bon pendant la ménopause pour apaiser les bouffées de chaleur (grâce à ses
qualités rafraîchissantes, notion ayurvédique), et il permet de réguler certains de ses effets
( shatavari + ghee qui couplée avec du sirop de rose est très bon pour les bouffées de
chaleur).


♦ Décuple la sécrétion du lait (effet galactagogue)
Au cours de l’allaitement prendre du Shatavari permet d’augmenter la qualité et la quantité
de lait produit pour son bébé. Cet effet est dû à une augmentation de la prolactine
(hormone déclenchant la sécrétion lactée).


♦ Réduit l’acidité du système digestif
Shatavari soigne la digestion et plusieurs troubles tels que les ulcères gastriques, ou les
dyspepsies (signes d’inconfort dans l’estomac : ballonnement, douleurs, nausées,
éructations…).
La plante favoriserait également les changements de la muqueuse gastrique en diminuant
son acidité et en augmentant ses sécrétions, ce qui renforcerait la barrière mucosale et
diminueraient fortement les aigreurs et les fragilités dans cette région du corps.


♦ Tonifiant des tissus du corps

Shatavari nourrit et apaise les membranes des poumons, de l’estomac, des reins et des
organes reproducteurs en leur apportant aussi de l’énergie et du soutien dans leur
fonctionnement.
La plante augmente aussi les sécrétions du corps, la glaire, la cyprine et le lait.


♦ Booste le système immunitaire
Elle soutient la fabrication des globules blanches et permet d’apaiser le mental par sa
nature sattvique (harmonieuse, notion d’ayurvéda) ce qui permet au corps de mieux se
défendre contre l’envahisseur.
en conclusion
elle a donc une action globale sur l’ensemble de l’appareil génital de la femme (stabilité,
régulation et le renforce )
renforce l’équilibre de la femme de la conception à la grossesse, et ensuite en post-partum
action sur la fertilité (soutien)
diminue le risque de Fausses-couches
et augmente la prolactine
action sur le PMS (syndrome pré-menstruel) : action décongestionnante, diminue les D+ menstruelles, diminue le
PMS : humeur, rétention hydrique, prise de poids, Douleurs des seins, céphalée, nausées et crampes

Ménopause : diminue les BC, régule les « humeurs » (diminue les Douleurs dans le bas et sécheresse)

Le Maca

MACA : « le viagra péruvien »
Le nom scientifique de la Maca est Lepidium meyenii. Lepidium est la transcription du grec
lepidion, diminutif de lepis, coquille, et signifie petite coquille, sans doute par allusion à la
forme des fruits. Cette plante appartient à la famille des choux, cresson, radis


La Maca est une plante originaire de la puna (région des hautes altitudes de la cordillère
des Andes, entre 3800 et 4000 d'altitude). Elle était largement cultivée pendant la période
pré-colombienne. La Maca fait partie de la famille des crucifères : il s'agit d'un tubercule.
Ses parties aériennes ressemblent à des feuilles de pissenlit, disposées en rosette. On la
nomme aussi Ginseng péruvien en raison de ses supposés effets positifs sur les capacités
sexuelles et reproductives.
La partie utilisée est le tubercule de la plante (disponible sous forme de poudre)


Les propriétés santé de la Maca sont dues à sa richesse en protéines, acides aminés -
essentiels notamment - (lysine et arginine), oligo-éléments dont le fer, alcaloïdes et encore
des substances qui agiraient directement sur les systèmes hormonaux masculin et
féminin. Elle contient aussi de la vitamine B et C
60 % glucides, 10% protéines, 8,5% fibres, minéraux, vitamines et antioxydants
La Maca est une plante énergisante qui redonne de l'énergie physique et mentale, elle
donne une excellente vitalité pour toute personne en vide d’énergie : anémie, fatigue,
convalescence…
Elle lutte contre la fatigue physique (chez les sportifs augmente les performance et
l’endurance).
Aurait un effet protecteur contre le cancer de l’estomac.
Elle a également un effet sur la santé sexuelle des hommes et des femmes. Elle
augmente la libido et le bien être psychologique.
Elle améliorerait aussi la fertilité masculine et la fertilité féminine (augmente la
spermatogenèse et la mobilité spermatique pex). Cependant, ses effets sur la sexualité et
la fertilité ne sont pas prouvées par des études scientifiques fiables. Mais est d’un usage
habituel au Péru (en association avec le TRIBULUS)
Enfin, la Maca semble avoir un effet équilibrant de l'humeur chez les femmes
ménopausées. elle diminue les bouffées de chaleur et les symptômes de la MNP (en
association avec gelée royale et Tribulus). Lutte contre l’ostéoporose. Anti-vieillissement
Douleurs articulaires … sans augmenter les hormones.
Règles douloureuses et troubles du cycle en association avec la spiruline


Maca et sexualité
La Maca est une plante qui a la réputation d'être une plante qui améliore la santé sexuelle.
Ses propriétés aphrodisiaques ne sont pas scientifiquement prouvées mais il est possible
que ses effets sur la santé sexuelle soient dus à ses propriétés énergisantes.

Sous quelles formes : poudre, gélules ?
La Maca existe sous différentes formes : gélules, capsules, extraits liquides ou poudre.
Mieux vaut privilégier la Maca en poudre car elle peut être intégrée à l'alimentation (elle a
un petit goût de noix caramélisée non sucrée) : mélangée dans une boisson chaude ou un

jus de fruit, saupoudrée sur une salade… La poudre de Maca doit être conservée dans un
endroit sec et à l'abri de la lumière.
Si le dosage est plus important, les comprimés sont la forme à choisir.
Partie utilisée de la plante
Ce sont les racines de la plante qui sont utilisées pour un usage thérapeutique.

A consommer entre 1 g et 1.5 g par jour !

Posologie
En poudre : Il est recommandé de consommer de 500 mg à 1 g de Maca 2 à 3 fois/
jour soit entre 1g et 1,5g. Pour un effet énergisant, il est conseillé de prendre une
cuillère à café bien remplie ou une cuillère à soupe rase de poudre de Maca diluée
par exemple dans une boisson chaude.
"En comprimés, cela dépend du dosage. Il faut suivre la prescription du laboratoire
qui a fabriqué le comprimé. En général, la posologie est de 1 à 2 comprimés 3 fois/
jour selon le niveau recherché
Déconseillée pendant la grossesse, l'allaitement, l'enfance et en cas de syndrome métabolique.


Il est recommandé de faire des cures de 2 à 3 mois de Maca et de ne pas prendre cette
plante au long cours même s'il n'existe pas de problèmes connus. L'Agence Nationale de
sécurité sanitaire de l'alimentation, de l'environnement et du travail déconseille la Maca
chez les personnes ayant  un syndrome métabolique (mais je n’ai pas retrouvé pourquoi).
Aucune étude n'ayant été effectuée chez la femme enceinte, l'usage de Maca est
déconseillé chez les femmes enceintes et allaitantes, tout comme chez l'enfant.
Effets secondaires indésirables
Il n'existe pas d'effets secondaires connus pour la Maca.
Interaction médicamenteuse
Aucune interaction avec d'autres plantes ou des médicaments n'est connue.


Bien-être et Santé
◦ Énergisant
◦ Diminue le stress et l’anxiété
◦ Diminue les risques de dépression [6] [7]
◦ Favorise l’équilibre nerveux et l’équilibre émotionnel
◦ Aide à diminuer l’acné et l’hypersensibilité de la peau
◦ Antioxydant puissant
◦ Renforce le système immunitaire
◦ Favorise la guérison des plaies en altitude [8]
Santé sexuelle
◦ Aphrodisiaque (augmente la libido et la rigueur sexuelle)
◦ Favorise la fertilité
◦ Augmente la production de sperme chez l’homme
◦ Faciliterait les érections (viagra naturel), combat l’impuissance (dysfonction érectile)
◦ Solutionnerait les problèmes d’adénome de la prostate (hyperplasie bénigne de la
prostate) en diminuant le volume de la prostate

Santé des sportifs
◦ Augmente l’endurance lors d’efforts sportifs
◦ Combat la fatigue physique
◦ Diminue les effets négatifs de l’altitude (lors de randonnées en montagne, par
exemple)
Santé de la femme
◦ Diminue les symptômes liés à la ménopause
Santé des os
◦ Diminue le risque de fracture des os (source significative de calcium)
◦ Réduit la perte de masse osseuse liée à l’ostéoporose [10]
Circulation sanguine et pression artérielle
◦ Réduit les risques d’hypertension (source significative de potassium)

L’Huile essentielle de Basilic


L’huile essentielle de Basilic agit rapidement en raison de ses propriétés
antispasmodiques.
Le basilic est particulièrement indiqué contre les spasmes, car il est très concentré en
estragole (méthyl-chavicol).
Par voie orale : une goutte d’HE de basilic sur un cachet neutre en cas de spasmes
violents. Ne pas dépasser trois prises par jour.
Par voie cutanée : une goutte d’HE de basilic à mélanger à 6 gouttes d’huile végétale
(amande, coco, argan). Masser la région douloureuse (bas-ventre) en mouvements
circulaires et légers. Les résultats sont quasi instantanés.
L’HE ne doit pas être utilisée chez la femme allaitante (en général pas réglées !)

La tisane de Framboisier



aurait un effet sur toutes les étapes de la vie d’un femme (je n’ai pas trouvé bcp d’articles
« sérieux » sur le mécanisme)
à la puberté : harmonisation des hormones avec un effet sur l’acné
pendant les règles : diminue les douleurs (via un effet antispamodique et via une meilleure
balance estro-progestative) et diminue les hémorragies (paradoxalement : aurait un effet
utérotonique aussi)
améliorerait la fertilité masculine et féminine (via la stimulation des sécrétions d’E2 et de
progestérone)
pendant la grossesse : déconseillée pendant le premier trimestre mais diminue le risque
de Fausses-couches (relâche l’utérus si Contractions Utérines prématurées et diminue la tension sur le col dans ce cas de
figure)
à l’accouchement : diminue les hémorragiques (via son effet utérotonique), améliore la
cinétique et ramollit le col
pendant l’allaitement favoriserait la montée laiteuse (retrouvée que sur un seul site)

aurait une action sur les fibromes, endométriose … un cas retrouvé de bénéfice sur une
névralgie pudendale (via quelle action ?)
via son effet antispasmodique : diminution des crampes digestives (entérocolite pex)
dosage : 1 à 3 tasses / J de tisane (200ml à ébullition sur feuilles de framboisier, laisser
infusion 10 min)
si besoin d’une action plus ciblée : il existe des macérats (de bourgeons de framboisier et
pas de feuilles dans ce cas-là) ou des compléments alimentaires


par précaution les 3 premiers de grossesse
effet sur les hormones néo sein ou hormonodépendant

et enfin, je vous soumets ce site


https://mylivia.fr ou via https://www.paingone.com/be-fr/regles-douloureuses/
ce dispositif se vend chez médiamarkt ou même krefel, je pense même que vandenborre propose de l’essayer.

En tant que gynéco, nous avons droit à un code (que je ne connais pas par coeur …sorry) pour que vous puissiez bénéficier d’une réduction… évidemment faites votre marché (peut-être est tout de même moins cher via les magasins que directement sur le site ?)

Selon le BMJ oncology, les cancers sont en augmentation chez les jeunes, cette tendance est pour l’instant inexpliquée mais menace de mettre à mal les systèmes de santé :

Chez les moins de 50 ans, le nombre de cancers a augmenté au cours des 30 dernières années : une augmentation de 79 % de nouveaux cancers et 28 % de décès :

1.Le cancer du sein ( qui est le type de cancer le plus répandu dans le monde) est responsable du plan grand nombre de cas et de décès associés chez les jeunes

2.Les cancers de la trachée et de la prostate

3.Les cancers du poumon, de l’estomac et de l’intestin

D’ici à 2030 : les nouveaux cas de cancer à début précoce et les décès associés augmenteront respectivement encore de 31 % et de 21%

entre 40 et 49 ans=> étendre les programmes de dépistage ? Aux USA, 19% de vies supplémentaires pourraient être sauvées grâce à un dépistage du cancer du sein à un plus jeune âge

On parle du cancer du sein mais il y a 18 sous-types différents (actuellement) : classiquement on connait le lobulaire et le canalaire mais nous devrions dire LES cancers du sein => on fait des génotypes et des phénotypes des cancers qui vont donner des informations pronostiques et thérapeutiques pour la prise en charge (on parle de thérapie ciblées, intérêt ou pas d’une chimiothérapie adjuvante ou néo-adjuvante …)

1. Fréquence

1 femme sur 7 à 8 sera touchée par la pathologie mais à peine 1 femme sur 10 a conscience de ce chiffre

Une centaine d’hommes par an en Belgique < 1% de l’ensemble des cancers du sein (hormonodépendant) => pour un homme risque de 1 pour 1000 mais pronostic de survie moins bon (diagnostic + tardif) - ils ne sont pas pour la majorité d’entre eux héréditaires.

3 populations

2. Diagnostic

On parle de 6 cancers du sein sur 10 qui sont découverts par les femmes elles-mêmes (ou leur partenaire)

Dépend de l’âge auquel le cancer sera diagnostiqué 

Bien connaître ses propres seins : 

les regarder, 

remarquer les changements de forme, 

la peau, 

une zone qui bouge moins bien, 

la palpation sous la douche (idéalement après les règles : pex tous les mois au 7ème jour après les règles)

Mais 6 femmes sur 10 évitent de se regarder dans le miroir !! (Honte de leurs seins => attitude + répandue chez les jeunes que chez les + de 50 ans) et selon certains sondages belges : 1 femme sur 3 se disait insatisfaite de ses formes féminines (< 34 ans ) alors que 7 femmes sur 10 considèrent leurs seins comme un élément important de leur féminité

9 signaux d’alarme

Une boule dans le sein

Une boule dans l’aisselle et au-dessus de la clavicule 

Une boule sur le sein

Une bosse dans le sein ou une fossette, un creux (mains au-dessus de la tête)

Un mamelon qui rentre ou qui gonfle

Un changement de forme du sein : forme ou taille

Une perte de liquide au niveau du mamelon (sang ++)

Une peau du sein « bizarre » inégale ou dure : peau d’orange (« cellulite » sur les cuisses)

Un changement de couleur de la peau du sein (rougeur, zones bleutées ou vertes : jamais vu)

NB à 20 ans la présence d’une petite boule = risque quasi nul d’un cancer

Auto-examen

« Je me sens bien, je suis certaine qu’il n’y a pas de problème »

Le fait d’être confrontée à la maladie chez un.e proche 3/4 des femmes connaissent au moins une personne atteinte d’un cancer du sein

Être porteuse d’une prédisposition génétique 

Mammographie  - IRM - échographie : dépistage individuel

Mammotest entre 50 et 69 ans tous les 2 ans (gratuit) : dépistage de « population »

Souvent entendu

« L’examen fait mal »

« je palpe mes seins moi-même »

« Les rayons »

3. Pronostic 

Plus de 8 femmes sur 10 survivent à leur cancer du sein grâce à l’amélioration des traitements mais aussi grâce au dépistage et au diagnostic précoce.

4. Les facteurs de risque et de prévention

30% des cancers du sein sont évitables par une hygiène de vie 

7 femmes sur 10 en Belgique présentent au moins 1 facteur de risque (évitable ou non)

Les plus fréquents 

le manque d’activité physique (39%)

le surpoids (37 %)

l’alcool

Les facteurs de risques que l’on ne peut changer

Facteur de risque = tout ce qui augmente le risque de contracter une maladie 

Dans le cancer = accumulation de mutations dans l’information génétique qui contrôle la croissance cellulaire

Prévention ou les facteurs de risque que l’on peut changer 

Selon l’OMS, un 1 décès sur 6 est dû à un cancer, et environ 1/3 de ces décès sont dûs à des facteurs évitables tels le tabagisme, IMC élevé, la consommation d’alcool, une alimentation pauvre en fruits et en légumes et la sédentarité

1. Les perturbateurs endocriniens 

Causent de nombreuses maladies (on en parle dans l’endométriose, dans les troubles de la fertilité …)

= des substances chimiques capables d’imiter l’action de nos hormones (bloquer ou au contraire augmenter leurs activités) - influencer 

Notre corps ne va pas faire la différence entre nos hormones endogènes et ces substances

Il est quasi impossible d’échapper aux perturbateurs endocriniens

Il est difficile de conclure car ils sont OMNIPRÉSENTS => essayer de les réduire

2.Son régime

5 portions de fruits et légumes ( poignée)

Éviter les aliments transformés

Éviter la malbouffe

Le tabac

Éviter le surpoids (obésité) 

Alcool 

chaque unité d’alcool par jour !! (< 10 unités/sem) : demi verre de bière, petit verre de vin, ..

3.Inactivité  

< 150 minutes d’exercice modéré : sport, marche active, avoir chaud et ne pas pouvoir chanter

12% moins de risque si physiquement actif

pour chaque tranche de 2 heures d’activité physique modérée à intense diminution du risque de 5%

job physique jardinage, ménage, vélo, marche …la danse, natation…corde à sauter, tennis, ramer…

Faire du sport dès le plus jeune âge ! 

Bénéfices du sport

Risque de récidive diminution du risque de 40 à 70 % si entraînement régulier et intensif

système immunitaire

régulation hormonale (facteur de croissance)

contrôle du poids et quantité de graisse (hormones et perturbateurs endocriniens lipophiles)

cancer du sein et du colon

forme et énergie traitements mieux supportés

yoga pilates 

30 min de sport/jour = même effet que le TAMOXIFENE (diminution de 40 à 50% le risque de récidive)

moins de dépression

transpirer 5 x 30 min/sem augmentation de nos battements de 10 à 20% -HIIT

4.Réduction du stress

La méditation : réparation des lésions ADN (télomères)

Via les hormones et leur régulation

Formelle ou informelle 

Ne pas laisser s’installer des « trauma » : étude sur la description d’une pièce versus la description d’un évènement important de sa vie

L’optimisme 

Sujet tabou !

De quoi s’agit-il ?

Les violences subies par les femmes constituent l’une des violations des droits humains les plus répandues dans le monde.

La déclaration de l’ONU en 1993 définit la violence à l’égard des femmes comme « tous les actes de violence dirigés contre le sexe féminin, et causant ou pouvant causer aux femmes un préjudice ou des souffrances physiques, sexuelles ou psychologiques, y compris la menace de tels actes, la contrainte ou la privation arbitraire de liberté, que ce soit dans la vie publique ou dans la vie privée » (article 1er).

Les formes de violences sont très diverses et pour la femme, il est parfois difficile de reconnaître cette violence :

Ces violences sont aussi la forme la plus aiguë de l’inégalité homme-femme, l’ONU les lie à la domination des hommes et à la subordination des femmes.

Cela atteint dans nos pays les femmes de tous les milieux, dans la vie privée, dans les espaces publiques comme au travail.

Au sein du couple, les violences sont répétées, multiples et peuvent être physiques mais aussi verbales, psychologiques et sexuelles (économiques !)

Dans les États membres de l’Union européenne une étude en 2014 a montré auprès de 42000 femmes que :

À noter que le recensement est difficile car le signalement aux autorités reste faible !

En 2019, en France, 99 % des femmes disent avoir été victimes d’un acte ou comportement sexiste.

Pour rappel la définition du sexisme :

Il s’agit d’une idéologie qui repose sur l’infériorité d’un sexe par rapport à l’autre, mais aussi un ensemble de manifestations des plus anodines en l’apparence (remarques, plaisanterie, etc) aux plus graves (viols, meurtres) qui ont pour objet de délégitimer, stigmatiser, humilier ou violenter les femmes et entraînent pour elles des effets en termes d’estime de soi, de santé psychique et physique et de modification des comportements …. comme éviter de mettre une jupe, ou de rentrer tard le soir …

En 2020 en France, plus de 80% des victimes au sein du couple recensées sont des femmes.

Pour l’OMS, le risque pour une femme de subir des violences conjugales est plus élevé que celui d’avoir un accident de la route.

En Belgique, près de 98% des femmes déclarent avoir déjà été victime de harcèlement dans l’espace publique.

Selon Amnesty International avant la crise du COVID : 1femme /5 a déjà été victime de viol au cours de sa vie en Belgique. Et le violeur est rarement un inconnu et la victime le connaît (famille, ami…).

Concrètement, il faut agir et des associations le font pour changer les choses En Suède, le viol est considéré comme « tout acte sexuel sans accord explicite, même en l’absence de menace ou de violence »

Le numéro d’urgence, si vous êtes en danger, 101 la Police.

Ou vous rendre dans le commissariat le plus proche ou aux urgences de l’hôpital le plus proche. Il faut porter plainte !! Un Service d’Aide aux Victimes peut vous aider à effectuer cette démarche.

En cas de violence sexuelle, vous pouvez faire appel aux Centres de Prise en charge des Violences sexuelles (CPVS) : https://www.cpvcf.org 02/535 45 42 (24/7 : suivi médical, médico-légal, psychologique, mais aussi judiciaire et policier sur place) à Bruxelles, mais aussi à Liège et à Gand.

Écoute violences conjugales 0800/30 030 : le premier pas pour sortir de l’isolement est de parler (24/7, gratuit et anonyme, https://www.ecouteviolencesconjugales.be).

Violences sexuelles 0800/98 100 SOS viol.

Accueil et hébergement 02/539 27 44 du lundi ou vendredi.

Samu social 800/ 99 340.

Une page intéressante concernant la violence et ne concernant pas seulement les femmes : https://www.bruxelles.be/lieux-daccueil-pour-les-victimes-de-violences.

Et sinon, NE RESTEZ PAS SEULE, parlez-en moi en consultation : je vous aiderai de mon mieux.

http://www.garance.be organise des stages de défense pour les femmes, ado, plus de 65 ans, mieux vaut toujours prévenir et pouvoir agir plutôt que de subir.

Pour aller plus loin, je vous invite à regarder le blog « les couilles sur la table », les journalistes revisitent la « masculinité » et notamment ce blog qui m’a fortement marquée https://www.binge.audio/podcast/les-couilles-sur-la-table/soumission-chimique-il-ny-a-pas-de-drogue-du-violeur